Voilà maintenant quelques années que l’homme essaye d’introduire de plus en plus les robots dans le quotidien à travers différents types de robots. Par exemple les robots qui aident aux ménages ou encore les petits nouveaux : les majordomes virtuels.
Ces nouveaux jouets technologiques permettent donc de nous aider au quotidien mais sont-ils vraiment aussi gentils qu’on le pense ? De plus en plus de rapports et d’articles montrent que nos amis du quotidien font plus de l’espionnage que du copinage.
Pourquoi se méfier de ces nouveaux amis ?
Qui ne connais pas encore les nouveaux bijoux de technologies pondus par les meilleures entreprises libres mondiales : Google et Amazon avec leurs nouveaux petits robots qui sont Alexa (qui d’ailleurs est encore remplis de bug bravo les dév) et Google Home. Si vous ne connaissez pas encore ces deux petites bêtes, ce sont des robots du quotidien qui permettent d’interagir avec pour par exemple lancer une recherche Google ou encore changer de musique même discuter de la pluie et du beau temps (un peu comme dans le film Her qui est un très bon film). Avec ce postulat on pourrait donc croire que ce sont des petits être gentils et biens mignons qui sont là pour nous aider dans notre quotidien sauf que malheureusement derrière toute bonne histoire il y a forcément un méchant.
Repartons juste quelques années en arrière avec les premiers robots intelligents et connectés fais pour le ménage. Mais si vous savez les petits aspirateurs qui nettoyaient votre maison tout seul sans votre aide et grâce à des micros capteurs leurs permettant de définir un plan assez simpliste de votre maison. Il s’est avérés que le plan assez simpliste ainsi que d’autres données récoltées par le robot étaient ensuite revendus, surprenant non ? Pas tellement quand on sait le nombres de données récoltés sur internet…. Mais avec le temps il faut bien faire semblant d’être étonné.
Appliquons donc ce postulat à nos nouveaux amis du quotidien qui eux peuvent avoir accès à beaucoup plus de données qu’un simple plan de maison. Sans vouloir jouer la carte du complot, ces petites bêtes peuvent donc avoir plus facilement accès à votre ordinateur plus facilement mais aussi car elles ne sont pas forcément très protégés face aux différents hack comme les ordinateurs il peut donc être assez simple d’accéder au micro et donc de pouvoir activer ou désactiver le micro comme on le veut.
Tout cela fais un peu théorie du complot mais pourtant c’est bien la réalité, avec le temps, il est de plus en plus simple pour n’importe quelle personne de pouvoir avoir accès à nos données personnelles et donc de nous espionner surtout avec l’apparition de nos petits robots adorés dans nos maisons, et encore ce n’est que le début.
Mais alors où est le rapport avec le libre dans tout ça ?
Et si on voyait un jour l’apparition d’un robot home complètement libre et donc modifiable à souhait aussi ?
Il serait intéressant de voir l’apparition sur le marché d’un Linux Home que l’on pourrait modifier et modifier les différentes fonctionnalités à souhait. Une sorte de robot open-source qui n’aurait pas aussi facilement accès à certaines données. Ce type de robot n’est pas forcément une utopie car de plus en plus de produits, de logiciels ou autre passent au libre donc pourquoi pas les robots ? Car même s’il est déjà possible de pouvoir créer son propre home robot, il est encore connecté forcément à l’assistant Google donc impossible de créer son robot libre.
Il serait donc intéressant dans le futur de voir si un Linux Home pourrait voir le jour.
Ça ne sentirait pas l’introduction d’une suite où on verrait des projets avec des IA dans du libre, voire des IA libre voire des IA politisées autour d’un mystérieux mouvement le FLIA (Front de Libération des IA) où les IA parfois plus malines que leurs maîtres doivent d’encaisser des injonctions permanentes sans la moindre compassion: «Ok Cortiri, prépare le café»!
Une question éthique: Pourquoi et comment une intelligence artificielle libre serait plus éthique?
Cet article mériterait quand même des liens vers les sources qui ont servi à le documenter.